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Créer ma SARLChoisir de créer une SARL est une option avantageuse pour les entrepreneurs en quête d’un cadre juridique sécurisé et d’une gestion simplifiée. Cette structure permet aux associés de limiter leur responsabilité à leurs apports, protégeant ainsi leur patrimoine personnel en cas de difficultés financières. Elle convient particulièrement aux projets familiaux ou aux entreprises réunissant un nombre restreint d’associés, grâce à un cadre légal strict qui réduit les risques de conflits.
Par ailleurs, le gérant majoritaire bénéficie d’un régime social affilié à la Sécurité sociale des indépendants, souvent plus économique que celui d’une SAS, tout en assurant une couverture sociale satisfaisante. Grâce à cette combinaison de sécurité et d’optimisation des coûts, la SARL représente une solution rassurante et efficace pour de nombreux entrepreneurs.
Pour la création d’une SARL en ligne, il est nécessaire de suivre les étapes suivantes :
1. Rédiger les statuts de la société
Les statuts sont le document qui décrit les règles de fonctionnement de votre SARL : la répartition des parts entre les associés, les responsabilités, ou encore les modalités de gestion.
La rédaction des statuts peut être une étape complexe, mais il est important de les adapter à vos besoins. C’est pourquoi il est souvent recommandé de faire appel à des professionnels pour vous accompagner dans cette tâche.
2. Déposer le dossier d’immatriculation sur le Guichet unique
Le Guichet unique de l’INPI centralise toutes les démarches administratives liées à la création d’entreprise. Pour la création d’une SARL, il est nécessaire de fournir différentes pièces, qui sont les suivantes :
Les statuts signés
Une attestation de dépôt de capital (à obtenir après avoir déposé le capital social sur un compte bancaire)
Une déclaration de non-condamnation pour les gérants
Une copie de leur pièce d’identité
Une fois vos documents prêts, connectez-vous au site, créez un compte, et téléchargez les pièces requises.
3. Régler les frais de création
Les frais varient selon la situation (nombre de gérants, formalités supplémentaires éventuelles). Lors du dépôt en ligne, vous serez invité à régler ces frais par carte bancaire.
4. Publier un avis dans un journal d’annonces légales
La publication d’une annonce légale dans un journal est une étape obligatoire de la création d’une SARL. Elle permet d’informer le public de la création de votre société.
5. Réception de l’extrait Kbis
Une fois toutes les étapes précédentes terminées, votre SARL sera enregistrée au Registre du Commerce et des Sociétés. Vous recevrez un extrait Kbis, qui est l’équivalent de la carte d’identité de votre entreprise.
Créer une SARL sans frais n’est malheureusement pas possible, car certaines étapes du processus de création engendrent des coûts incompressibles. Par exemple, la publication de l’avis de constitution dans un journal d’annonces légales et l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RCS) impliquent des frais obligatoires.
La création d'une SARL peut prendre plusieurs jours à plusieurs semaines, en fonction de la préparation et de la réactivité des différentes parties impliquées. Si tous les documents nécessaires sont préparés à l'avance, le processus peut être relativement rapide.
Faire appel à des experts peut également vous faire gagner du temps dans la création de votre entreprise et vous décharger des formalités administratives.
Créer une SARL en 2025 implique plusieurs frais incontournables. Tout d’abord, l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) coûte 46,59 €, à laquelle s’ajoutent 20,34 € pour l’inscription au registre des bénéficiaires effectifs. Ces démarches sont indispensables pour officialiser l’existence de l’entreprise.
En parallèle, il est obligatoire de publier une annonce légale afin d’informer les tiers de la création de la société. Cette formalité représente un coût de 147 € en métropole et de 171 € à La Réunion et Mayotte.
À cela s’ajoute le capital social. Bien qu’il soit possible de constituer une SARL avec seulement 1 €, il est souvent préférable d’y consacrer un montant plus élevé pour renforcer la crédibilité de l’entreprise auprès des partenaires financiers (banques et investisseurs). De plus, les associés peuvent ne libérer que 20 % du capital au moment de la création, avec la possibilité de compléter ce montant dans un délai de cinq ans, ce qui allège les charges initiales.
La rédaction des statuts constitue également une étape clé. Si les associés choisissent de les rédiger eux-mêmes, cela n’engendre aucun coût. En revanche, s’ils préfèrent se faire accompagner, les honoraires varient : un avocat ou un expert-comptable facture entre 200 € et 3 000 €, tandis que les plateformes en ligne proposent des services plus abordables. Chez Clementine, nous proposons un forfait complet dès 99 € incluant la rédaction des statuts.
Si des apports en nature sont prévus (comme du matériel ou des biens immobiliers), il peut être nécessaire de faire appel à un commissaire aux apports. Ce service coûte généralement entre 500 € et 3 000 €, sauf si les associés décident unanimement de s’en passer sous certaines conditions.
Pour créer une SARL, la loi n’impose aucun montant minimum pour le capital social. Il est donc tout à fait possible de lancer sa société avec seulement 1 €. Cette liberté a été instaurée pour encourager l’entrepreneuriat en rendant la création d’entreprise plus accessible.
Cependant, même si cette souplesse semble avantageuse, démarrer avec un capital trop faible peut poser des difficultés. Une entreprise avec peu de fonds peut peiner à convaincre des partenaires financiers ou des fournisseurs de sa solidité. De plus, en cas de pertes importantes, un capital insuffisant limite la capacité de l’entreprise à faire face à ses engagements.
Il est donc recommandé d’évaluer les besoins réels de la société avant de fixer le montant du capital social. Un capital adapté à l’activité et aux projets de l’entreprise inspire plus de confiance et offre une meilleure sécurité financière.
Les charges d'une SARL représentent toutes les dépenses nécessaires à son fonctionnement. Elles se divisent en trois grandes catégories : les charges d’exploitation, les charges fiscales et les charges sociales.
Les charges d’exploitation couvrent tout ce qui permet à l’entreprise de tourner au quotidien. Cela va des achats de matières premières et de marchandises aux loyers des locaux, en passant par les frais liés aux déplacements, à la communication ou encore à la publicité. À cela s’ajoutent les salaires versés aux employés et les paiements effectués auprès des prestataires comme les banques ou les experts-comptables. Toutes ces dépenses sont directement liées à l’activité de la SARL et influencent son résultat financier.
Pour ce qui est des charges fiscales, la SARL est généralement soumise à l’impôt sur les sociétés, qui taxe les bénéfices réalisés. Ce taux est de 25 %, mais il peut être réduit à 15 % sous certaines conditions, notamment si la société a un chiffre d’affaires inférieur à 10 millions d’euros et un capital entièrement libéré. Il existe aussi la possibilité, sous conditions, d’opter pour l’impôt sur le revenu, ce qui implique que les associés paient eux-mêmes l’impôt sur les bénéfices de l’entreprise. En plus de ces impôts, la SARL doit régler la TVA et d’autres taxes locales comme la cotisation foncière des entreprises.
Les charges sociales, quant à elles, dépendent du statut du gérant et du personnel employé. Les salariés bénéficient d’une couverture sociale financée par des cotisations couvrant notamment la santé, la retraite et la famille. Pour le gérant, tout dépend de sa position dans la société. Un gérant minoritaire ou égalitaire est assimilé salarié, donc soumis aux mêmes règles de cotisations que les employés (sauf pour le chômage), tandis qu’un gérant majoritaire relève du régime des travailleurs non salariés, avec des cotisations à régler même sans rémunération. Par ailleurs, les dividendes versés peuvent être soumis à des charges sociales s’ils dépassent un certain seuil.
Le choix du régime de TVA pour une SARL dépend principalement de son chiffre d’affaires et de la manière dont elle souhaite gérer ses obligations fiscales. Lors de sa création, l’entreprise peut opter pour la franchise en base de TVA, le régime réel simplifié ou le régime réel normal.
La franchise en base de TVA est idéale pour les SARL qui débutent avec un chiffre d’affaires modeste. Ce régime permet de ne pas facturer la TVA à ses clients ni de la déclarer, mais en contrepartie, la SARL ne peut pas récupérer la TVA sur ses achats. C’est un bon choix pour simplifier la gestion comptable lorsque les charges sont faibles.
Le régime réel simplifié convient aux SARL avec un chiffre d’affaires plus important qui souhaitent équilibrer simplicité et possibilité de récupérer la TVA sur leurs dépenses. Ici, la TVA est déclarée une fois par an, avec le versement d’acomptes semestriels, ce qui limite les démarches administratives tout en offrant plus de flexibilité.
Le régime réel normal, quant à lui, s’adresse aux entreprises avec des volumes de transactions plus élevés ou une gestion plus structurée. La déclaration de TVA se fait tous les mois ou tous les trimestres si la TVA due reste sous 4 000 euros par an. Cela permet un suivi régulier de la trésorerie, notamment en matière de TVA déductible et TVA collectée.
Le choix du régime n’est pas figé, il peut évoluer si la SARL franchit certains seuils de chiffre d’affaires ou sur décision de l’entrepreneur. Cela permet à l’entreprise d’adapter sa gestion de la TVA à son développement. Pour vérifier son régime actuel, il suffit de consulter la lettre d’accueil envoyée par l’administration fiscale après l’immatriculation.
Choisir la SARL comme forme juridique offre de nombreux atouts qui séduisent particulièrement les créateurs d’entreprise souhaitant sécuriser leur projet tout en bénéficiant d’une gestion simplifiée. Voici les principaux avantages de ce statut :
Responsabilité limitée des associés : L’un des plus grands atouts de la SARL réside dans la protection qu’elle offre aux associés. Ils ne sont responsables des dettes de la société qu’à hauteur de leurs apports. Autrement dit, leur patrimoine personnel est préservé en cas de difficultés financières.
Pas de capital social minimum : Créer une SARL est accessible à tous grâce à l'absence de capital minimum. Il est possible de démarrer avec seulement 1 €. Ce point facilite la création d’entreprise, même avec peu de moyens financiers.
Un cadre juridique sécurisé : Le fonctionnement de la SARL est bien encadré par la loi. Cette réglementation limite les dérives et assure une gestion plus stable. Ce cadre rassure particulièrement les entrepreneurs qui débutent et les associés minoritaires.
Choix du régime fiscal : Par défaut, la SARL est soumise à l’impôt sur les sociétés (IS), mais il est possible d’opter pour l’impôt sur le revenu (IR) pendant les cinq premières années ou de manière permanente dans le cadre d’une SARL de famille. Cette flexibilité fiscale permet d’adapter la fiscalité à la situation de l’entreprise.
Régime social avantageux pour les gérants majoritaires : Les gérants majoritaires bénéficient du régime des travailleurs indépendants (TNS), entraînant des charges sociales moins élevées. Cela permet d’alléger les coûts, surtout au démarrage de l’activité.
Possibilité d'impliquer le conjoint : La SARL permet au conjoint du gérant d’adopter le statut de conjoint collaborateur. Ce statut facilite son engagement dans l’entreprise tout en lui assurant une protection sociale minimale.
Contrôle des cessions de parts sociales : Les associés ont un droit de regard sur l’entrée de nouveaux partenaires. Toute cession de parts sociales doit être approuvée par les associés, ce qui protège l’équilibre de la société et évite l’arrivée d’investisseurs indésirables.
Malgré ses nombreux avantages, la SARL présente certaines limites qui peuvent freiner les entrepreneurs en quête de souplesse ou de développement rapide. Il est donc important de bien les connaître avant de faire son choix :
Fonctionnement rigide : La SARL est soumise à des règles de gestion strictes qui peuvent ralentir certaines décisions. Les assemblées générales sont encadrées par la loi, et les statuts offrent peu de liberté pour adapter la gestion aux besoins de l’entreprise.
Formalités de création complexes : Créer une SARL nécessite de suivre plusieurs étapes administratives : rédaction des statuts, dépôt du capital, publication d’une annonce légale, et immatriculation. Ces démarches sont plus longues et coûteuses que pour une entreprise individuelle.
Protection sociale limitée pour le gérant majoritaire : Le gérant majoritaire relève du régime des travailleurs indépendants, moins protecteur que le régime général. Il ne cotise pas à l’assurance chômage et bénéficie d’une couverture santé et retraite moins avantageuse, sauf à souscrire des assurances complémentaires.
Fiscalité des dividendes peu favorable : Les dividendes perçus par le gérant majoritaire sont soumis aux cotisations sociales au-delà d’un certain seuil (10 % du capital social et des apports). Cela réduit l’intérêt de se rémunérer sous forme de dividendes, contrairement aux dirigeants de SAS.
Entrée de nouveaux associés limitée : La procédure d’agrément rend difficile l’entrée de nouveaux associés. Pour céder des parts sociales à un tiers, il faut obtenir l’accord des autres associés, ce qui peut freiner la croissance de l’entreprise en limitant les levées de fonds.
Une SARL de famille est une forme particulière de SARL qui regroupe uniquement des membres d'une même famille. Cela peut inclure les parents (ascendants et descendants), les frères et sœurs, ainsi que les conjoints ou partenaires pacsés.
Son principal avantage réside dans la possibilité d'opter pour l'imposition sur le revenu plutôt que sur les sociétés. Concrètement, cela permet aux associés de déclarer les bénéfices de l'entreprise directement dans leurs revenus personnels, répartis selon leur part dans le capital. Cette option peut s’avérer fiscalement plus intéressante dans certaines situations.
Pour le reste, la SARL de famille fonctionne comme une SARL classique. Les associés bénéficient d’une responsabilité limitée à leurs apports, et la gestion de l’entreprise suit les mêmes règles que dans une SARL traditionnelle.
La principale différence entre la SARL et l’EURL réside dans le nombre d’associés. La SARL (Société à Responsabilité Limitée) rassemble au moins deux associés et peut en compter jusqu’à cent, tandis que l’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) est simplement une SARL avec un seul associé. Cette distinction influence directement la manière dont l’entreprise est gérée et les décisions sont prises. Dans une SARL, les décisions nécessitent des assemblées générales où les associés votent, ce qui implique des démarches plus formelles. En revanche, dans une EURL, l’associé unique décide seul, ce qui simplifie la gestion quotidienne.
Sur le plan fiscal, la SARL est par défaut soumise à l’impôt sur les sociétés (IS), mais elle peut, sous certaines conditions, choisir l’impôt sur le revenu (IR) pour une durée limitée. L’EURL, quant à elle, est automatiquement imposée à l’IR si son associé est une personne physique, mais elle peut aussi opter pour l’IS. Ce choix fiscal influence la manière dont les bénéfices sont taxés : dans une EURL, les profits sont généralement imposés directement au nom de l’associé, alors que dans une SARL, c’est la société qui paie l’impôt.
Le statut social du dirigeant varie également. Dans une EURL, si l’associé unique est le gérant, il relève du régime des travailleurs non-salariés, ce qui implique des cotisations sociales plus légères mais une protection sociale moins complète. En SARL, tout dépend du poids du gérant dans le capital social : s’il est majoritaire, il est aussi travailleur non-salarié, mais s’il est minoritaire ou extérieur à la société, il bénéficie du régime assimilé-salarié, plus protecteur mais aussi plus coûteux en cotisations.
La fermeture d'une SARL implique plusieurs étapes administratives, chacune engendrant des coûts spécifiques. Voici les principaux frais à prévoir :
Annonce de dissolution dans un journal d'annonces légales : entre 150 € et 200 €.
Annonce de liquidation dans un journal d'annonces légales : entre 150 € et 200 €.
Enregistrement de la dissolution auprès du greffe du tribunal de commerce : 192,01 €.
Radiation de la société du Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) : 13,93 €.
En cas de boni de liquidation (actif net positif redistribué aux associés), un droit d'enregistrement de 2,5 % du montant du boni est applicable.
Si vous faites appel à un expert-comptable ou à un avocat pour vous accompagner dans les démarches de dissolution et de liquidation, les honoraires peuvent varier en fonction de la complexité du dossier et des tarifs pratiqués.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la SARL, nous vous invitons à consulter nos articles de blog sur le sujet.
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